211 Sensas Girl
A l'image de la plupart de ses compagnons d'entrainement, elle a été réservée pour ce meeting. Lauréate lors de sa seule tentative sur ce parcours, elle est désormais au top de sa forme et décevrait en ne concluant pas dans la bonne combinaison du Quinté+
304 Scawork
Ce poulain tardif n'a paru en piste qu'à deux reprises mais vient d'être l'auteur d'une probante rentrée à Toulouse. Dès lors, s'il effectue le déplacement en région parisienne, ce n'est certainement pas pour faire de la figuration.
310 Tafaïko fax
Venant de jouer de malchance lors de ses deux dernières sorties à Vincennes, ce redoutable finisseur mériterait de trouver une compensation. Nul doute qu'il peut cette fois parvenir à ses fins... à condition de trouver l'ouverture au moment opportun.
405 Collimateur
Véritable spécialiste de la PSF, il a joué de malchance dans l'épreuve référence du 13 octobre, sur ce même tracé marseillais. Cette fois, à l'issue d'un parcours limpide, il devrait conclure dans la bonne combinaison du Pick 5.
704 Kacao Fix
Après un peu plus d'un an d'absence, ce hongre de 5 ans vient de causer une belle surprise en concluant au deuxième rang d'un réclamer similaire à Enghien. Deuxième d'un handicap à Auteuil, au printemps 2011, il s'annonce incontournable dans ce lot.
mardi 4 décembre 2012
mercredi 21 novembre 2012
Le sacre de Toto II
En selle sur Or de Jade, David Thomain a remporté la cinquantième victoire de sa carrière vendredi à Graignes. Le fils de Jean-Pierre Thomain, Toto pour les intimes, passe dans les rangs des professionnels…
Françoise et Jean-Pierre Thomain doivent être fiers du fiston ! C’est à quelques encablures du fief familial de Carentan, à Graignes, que David a eu la bonne idée d’obtenir son visa pour la cour des grands, celle des professionnels. David Thomain a eu la chance de naître dans une famille de cheval, celle des Thomain et des Barassin.
Jean-Pierre Thomain, au temps de sa splendeur, était un jockey d’exception. Aujourd’hui, il entraîne ses élèves avec talent sous le regard de son propriétaire-ami, Olivier Philippe. Jean-Pierre Thomain a fait le forcing pour que son fils entre au service de Joël Hallais, l’école de référence, l’école de la rigueur, celle qui a formé des prodiges comme Jean-Loïc Dersoir ou Matthieu Abrivard.
Toto junior a fait ses classes dans l’ombre des meilleurs, l’avenir nous dira s’il a beaucoup appris. En revanche, David a su orchestrer sa sortie de l’univers des apprentis. Il a monté une belle course avec Or de Jade, un élève de Joël Hallais, qui défend les couleurs de Guillaume Macaire… des Goliath du monde des courses ! David nous a livré quelques mots sitôt le poteau franchi : "Cela faisait une quinzaine de jours que j'attendais cette 50e victoire. J'avais obtenu beaucoup de deuxièmes places ces derniers temps. Evidemment, gagner ici à Graignes, tout près de chez moi, devant ma famille, et pour le compte de mon patron Joël Hallais, c'est une énorme satisfaction. Maintenant, j'espère que le téléphone va sonner et que les entraîneurs vont me faire confiance. Je vais me battre pour rester compétitif."
Alors forcément, David se souviendra toute sa vie de sa 50e victoire acquise sur une piste où il a joué durant son enfance avec ses amis, les Lagadeuc et les Popot. Physiquement parlant, David Thomain est plutôt grand et son avenir chez les jockeys demeure incertain. Dans un futur proche, le jeune Thomain ira probablement travailler avec son père du côté de Carentan, au Haras des Cèdres. Toto II est né…
Françoise et Jean-Pierre Thomain doivent être fiers du fiston ! C’est à quelques encablures du fief familial de Carentan, à Graignes, que David a eu la bonne idée d’obtenir son visa pour la cour des grands, celle des professionnels. David Thomain a eu la chance de naître dans une famille de cheval, celle des Thomain et des Barassin.
Jean-Pierre Thomain, au temps de sa splendeur, était un jockey d’exception. Aujourd’hui, il entraîne ses élèves avec talent sous le regard de son propriétaire-ami, Olivier Philippe. Jean-Pierre Thomain a fait le forcing pour que son fils entre au service de Joël Hallais, l’école de référence, l’école de la rigueur, celle qui a formé des prodiges comme Jean-Loïc Dersoir ou Matthieu Abrivard.
Toto junior a fait ses classes dans l’ombre des meilleurs, l’avenir nous dira s’il a beaucoup appris. En revanche, David a su orchestrer sa sortie de l’univers des apprentis. Il a monté une belle course avec Or de Jade, un élève de Joël Hallais, qui défend les couleurs de Guillaume Macaire… des Goliath du monde des courses ! David nous a livré quelques mots sitôt le poteau franchi : "Cela faisait une quinzaine de jours que j'attendais cette 50e victoire. J'avais obtenu beaucoup de deuxièmes places ces derniers temps. Evidemment, gagner ici à Graignes, tout près de chez moi, devant ma famille, et pour le compte de mon patron Joël Hallais, c'est une énorme satisfaction. Maintenant, j'espère que le téléphone va sonner et que les entraîneurs vont me faire confiance. Je vais me battre pour rester compétitif."
Alors forcément, David se souviendra toute sa vie de sa 50e victoire acquise sur une piste où il a joué durant son enfance avec ses amis, les Lagadeuc et les Popot. Physiquement parlant, David Thomain est plutôt grand et son avenir chez les jockeys demeure incertain. Dans un futur proche, le jeune Thomain ira probablement travailler avec son père du côté de Carentan, au Haras des Cèdres. Toto II est né…
mercredi 17 octobre 2012
MOUMOUNE ROSE ouvre le bal des 2 ans
Les 2 ans sont entrés en piste, ce samedi 13 octobre, et certains d'entre eux savent déjà aller vite. Dès le premier lot, Moumoune Rose, pilotée par Pierre Vercruysse, est parvenue à venir dominer en fin de parcours Mambo des Brouets, passé lui en 1'18'' au kilomètre.
Créditée de la réduction kilométrique de 1'18''7, contre 1'18''8 à son rival, Moumoune Rose a fait plaisir à son jeune entraîneur, Patrick Gaté : « Cette fille de Boléro du Coq et Fujisawa, par Tiarko, est la soeur utérine de Kacahuète Rose, 1'18''. Elle n'a pas de souci particulier et je pense qu'elle devrait pouvoir faire parler d'elle, notamment en début de carrière. J'ai actuellement sept chevaux sous ma responsabilité, dont un autre 2 ans issu, lui, de Speed Clayettois. »
Premier garçon de Pierre Vercruysse durant cinq ans, Patrick Gaté s'est installé à son compte il y a quelque six ans et il cherche une victoire à Vincennes en tant qu'entraîneur: Moumoune Rose pourrait peut-être débloquer son compteur cet été.
Présenté par Pascal Daulier, Mambo des Brouets n'a donc pu résister à sa rivale pour finir, ayant penché, mais cela n'inquiète pas son mentor : « Il trotte, croyez-moi ; c'est un cheval froid, frère de Kohol des Brouets, qui a couvert ses premiers mille mètres en 1'18'', et je n'ai plus bougé dans la montée, le laissant faire ; c'est pourquoi il a penché, étant perdu, et s'est fait battre à la fin. Je le crois capable de vite monter en gains et de courir les bons lots d'emblée. »
Au cours de cette journée pluvieuse, Mélody d'Automne (une fille de Fripon Rose, drivée par Bernard Piton pour le compte de Pierre Clairy) et Modesty (sujet de l'écurie de Frédéric Prat, par Carpe Diem et Vimera, d'où Holdy du Bel Hoste, 1'15'') ont respectivement été acceptés en 1'19''5 et 1'19''9.
Notons enfin que l'étalon Hello Jo a, lui aussi, été à l'honneur en ce 7 juin, deux de ses descendants, Mélo des Chaliers (1'20''9) et Mage des Brouets (1'21''4) s'étant également distingués.
Créditée de la réduction kilométrique de 1'18''7, contre 1'18''8 à son rival, Moumoune Rose a fait plaisir à son jeune entraîneur, Patrick Gaté : « Cette fille de Boléro du Coq et Fujisawa, par Tiarko, est la soeur utérine de Kacahuète Rose, 1'18''. Elle n'a pas de souci particulier et je pense qu'elle devrait pouvoir faire parler d'elle, notamment en début de carrière. J'ai actuellement sept chevaux sous ma responsabilité, dont un autre 2 ans issu, lui, de Speed Clayettois. »
Premier garçon de Pierre Vercruysse durant cinq ans, Patrick Gaté s'est installé à son compte il y a quelque six ans et il cherche une victoire à Vincennes en tant qu'entraîneur: Moumoune Rose pourrait peut-être débloquer son compteur cet été.
Présenté par Pascal Daulier, Mambo des Brouets n'a donc pu résister à sa rivale pour finir, ayant penché, mais cela n'inquiète pas son mentor : « Il trotte, croyez-moi ; c'est un cheval froid, frère de Kohol des Brouets, qui a couvert ses premiers mille mètres en 1'18'', et je n'ai plus bougé dans la montée, le laissant faire ; c'est pourquoi il a penché, étant perdu, et s'est fait battre à la fin. Je le crois capable de vite monter en gains et de courir les bons lots d'emblée. »
Au cours de cette journée pluvieuse, Mélody d'Automne (une fille de Fripon Rose, drivée par Bernard Piton pour le compte de Pierre Clairy) et Modesty (sujet de l'écurie de Frédéric Prat, par Carpe Diem et Vimera, d'où Holdy du Bel Hoste, 1'15'') ont respectivement été acceptés en 1'19''5 et 1'19''9.
Notons enfin que l'étalon Hello Jo a, lui aussi, été à l'honneur en ce 7 juin, deux de ses descendants, Mélo des Chaliers (1'20''9) et Mage des Brouets (1'21''4) s'étant également distingués.
lundi 17 septembre 2012
GENERAL DU POMMEAU au départ du Prix René Ballière
Dimanche prochain, le fils de Sébrazac va retrouver, entre autres, son grand rival dans le Prix René Ballière. En effet, contrairement à l'an dernier, où il avait effectué sa rentrée aux Sables-d'Olonne, début juillet (il devrait être encore de la partie dans un mois), le champion de Saint-James réapparaîtra en compétition trois semaines plus tôt, son entourage ayant pris sa décision après un exercice probant, lundi, à l'issue de la dernière course sur l'hippodrome de Caen. C'est Christophe Roszac, employé du Haras Gènes Diffusion qui s'occupe du « Général » durant la saison de monte. D'ailleurs, c'est associé à ce jeune lad qu'il s'est entraîné ces derniers mois sur la plage, nous a confié Claude Guégan, responsable du Haras.
Quant à Jules Lepennetier, heureux d'avoir retrouvé son champion, il commentait : « Je l'avais déjà travaillé quatre fois mais, aujourd'hui, c'était un test pour savoir si nous allions le courir dimanche prochain. Celui-ci s'est avéré concluant. En accord avec ses propriétaires, nous avons donc décidé de le présenter. Cette année, il a fini le meeting d'hiver moins fatigué qu'en 2008 et la saison de monte s'est très bien passée. De surcroît, il n'a jamais été arrêté, ayant été attelé tous les jours et travaillé normalement sur la plage. D'ailleurs, il n'y a qu'à voir sa belle condition physique pour en être convaincu. »
lundi 10 septembre 2012
LES MEILLEURS 2 ANS
En cette année écoulée, comme au cours des trois exercices précédents (il faut remonter à Revoque, vainqueur du Prix de la Salamandre et du Grand Critérium en 2007 pour se trouver en présence d'une autre situation), les cinq épreuves les plus prestigieuses du programme français pour les tout-jeunes poulains et pouliches -celles qui ont droit au label « groupe I »- ont été remportées par cinq sujets différents. Trois de ces grands lauréats, Amonita, Okawango et Sagacity ressortissent à l'entraînement français, ce qui constitue, en soi, un motif de satisfaction. On notera, cependant, que le seul Sagacity a été élevé en France, mais est-ce vraiment étonnant quand on sait que, depuis longtemps déjà, notre pays est devenu davantage terre de courses que d'élevage...
Reprenons les choses chronologiquement. Au mois d'août, à Deauville, nous avons lié connaissance avec le britannique Bad As I Wanna Be qui a fait forte impression en laissant à six longueurs son plus proche poursuivant dans le Prix Morny. Avions-nous affaire à un nouveau My Swallow, à un clone d'Arazi ? Apparemment non, puisque cet alezan au patronyme curieux (on peut le traduire par «aussi dissipé que je peux l'être») a échoué ensuite à deux reprises, devant se contenter de la quatrième place tant dans le Prix de la Salamandre que dans les Middle Park Stakes, à Newmarket. Dans cette dernière course, notons-le, Endless Summer, son dauphin sur l'hippodrome de la Touques, prenait une complète revanche en finissant deuxième de Minardi, trois longueurs devant lui.
Un invaincu
Dominés sur la ligne droite de Deauville, les sujets français le furent aussi à l'occasion du Prix de la Salamandre, dans lequel, de manière étonnante, la pouliche Wooden Doll était leur unique représentante. Cette pensionnaire de Christiane Head a dû se contenter de précéder Bad As I Wanna Be, grand favori complètement défaillant, tout en terminant à distance respectueuse de Tobough et de Honours Lists.
Le gagnant, fils de Barathea, un des meilleurs «Sadler's Wells» au haras, et de Lacovia, lauréate du Prix Saint-Alary et du Prix de Diane, allait ensuite obtenir une troisième victoire, pour autant de tentatives, en s'octroyant très nettement les Dewhurst Stakes. Son évidente grande classe avait tout pour séduire et on apprenait, à la fin du mois d'octobre, qu'il porterait en 2001 la casaque de la toute puissante Ecurie Godolphin...
Reprenons les choses chronologiquement. Au mois d'août, à Deauville, nous avons lié connaissance avec le britannique Bad As I Wanna Be qui a fait forte impression en laissant à six longueurs son plus proche poursuivant dans le Prix Morny. Avions-nous affaire à un nouveau My Swallow, à un clone d'Arazi ? Apparemment non, puisque cet alezan au patronyme curieux (on peut le traduire par «aussi dissipé que je peux l'être») a échoué ensuite à deux reprises, devant se contenter de la quatrième place tant dans le Prix de la Salamandre que dans les Middle Park Stakes, à Newmarket. Dans cette dernière course, notons-le, Endless Summer, son dauphin sur l'hippodrome de la Touques, prenait une complète revanche en finissant deuxième de Minardi, trois longueurs devant lui.
Un invaincu
Dominés sur la ligne droite de Deauville, les sujets français le furent aussi à l'occasion du Prix de la Salamandre, dans lequel, de manière étonnante, la pouliche Wooden Doll était leur unique représentante. Cette pensionnaire de Christiane Head a dû se contenter de précéder Bad As I Wanna Be, grand favori complètement défaillant, tout en terminant à distance respectueuse de Tobough et de Honours Lists.
Le gagnant, fils de Barathea, un des meilleurs «Sadler's Wells» au haras, et de Lacovia, lauréate du Prix Saint-Alary et du Prix de Diane, allait ensuite obtenir une troisième victoire, pour autant de tentatives, en s'octroyant très nettement les Dewhurst Stakes. Son évidente grande classe avait tout pour séduire et on apprenait, à la fin du mois d'octobre, qu'il porterait en 2001 la casaque de la toute puissante Ecurie Godolphin...
lundi 27 août 2012
Retour sur les courses de la Teste
En dépit d'une très forte chaleur, les compétiteurs présents jeudi à La Teste ont offert un spectacle de qualité, notamment la pouliche britannique Courting et l'excellent stayer de John Hammond, Mont Rocher, revenu meilleur que jamais après castration.
Drapeau vert sur les plages d'Aquitaine et, notamment, sur celles du bassin d'Arcachon : des orages étaient pronostiqués par la météo, mais pas avant la fin de soirée. On pardonnera, dès lors, aux vacanciers d'être restés sur le sable, car, en ce jeudi étouffant, l'appel de la mer devait être beaucoup plus excitant que celui des chevaux, rassemblés au Béquet où s'était déplacée la caravane de France Galop. Sur le parking testerin, à l'heure du début des opérations de la « première », une intéressante confrontation réservée à la génération née en 1998, certains s'étaient assoupis à la recherche d'une ombre bienfaitrice, bercés sans doute par le chant des cigales. Une vraie carte postale estivale, mais, on l'aura compris, des conditions difficiles pour les hommes et les chevaux, écrasés par la chaleur.
Les 2 ans, parlons-en. Car ceux qui participèrent au Prix Helleniqua, jadis préparatoire au Critérium du Béquet, ont laissé une impression des plus favorables, même si, comme le faisait remarquer Dominique Boeuf, « les cinq cents premiers mètres ont été parcourus au galop de chasse ». N'empêche, Season's Greetings, la lauréate qu'il pilotait, est tenue en assez bonne estime par Carlos Laffon-Parias, les deux professionnels s'accordant à dire que la fille d'Ezzoud vaut « tous les jours une course « B » en région parisienne. » Quoique devancés par deux longueurs et demie, Acazo, un « Soubagné » qui ne finira sûrement pas l'été maiden, Marichal, pris de vitesse sur une piste « bonne légère » où il est problématique de revenir lorsque l'allure n'est pas sélective, et Baronne, contrainte de rendre un peu de poids aux mâles, détiennent un certain potentiel, encore qu'il soit bien tôt pour hiérarchiser cette promotion de tout jeunes pur-sang.
Drapeau vert sur les plages d'Aquitaine et, notamment, sur celles du bassin d'Arcachon : des orages étaient pronostiqués par la météo, mais pas avant la fin de soirée. On pardonnera, dès lors, aux vacanciers d'être restés sur le sable, car, en ce jeudi étouffant, l'appel de la mer devait être beaucoup plus excitant que celui des chevaux, rassemblés au Béquet où s'était déplacée la caravane de France Galop. Sur le parking testerin, à l'heure du début des opérations de la « première », une intéressante confrontation réservée à la génération née en 1998, certains s'étaient assoupis à la recherche d'une ombre bienfaitrice, bercés sans doute par le chant des cigales. Une vraie carte postale estivale, mais, on l'aura compris, des conditions difficiles pour les hommes et les chevaux, écrasés par la chaleur.
Les 2 ans, parlons-en. Car ceux qui participèrent au Prix Helleniqua, jadis préparatoire au Critérium du Béquet, ont laissé une impression des plus favorables, même si, comme le faisait remarquer Dominique Boeuf, « les cinq cents premiers mètres ont été parcourus au galop de chasse ». N'empêche, Season's Greetings, la lauréate qu'il pilotait, est tenue en assez bonne estime par Carlos Laffon-Parias, les deux professionnels s'accordant à dire que la fille d'Ezzoud vaut « tous les jours une course « B » en région parisienne. » Quoique devancés par deux longueurs et demie, Acazo, un « Soubagné » qui ne finira sûrement pas l'été maiden, Marichal, pris de vitesse sur une piste « bonne légère » où il est problématique de revenir lorsque l'allure n'est pas sélective, et Baronne, contrainte de rendre un peu de poids aux mâles, détiennent un certain potentiel, encore qu'il soit bien tôt pour hiérarchiser cette promotion de tout jeunes pur-sang.
lundi 20 août 2012
Les dernières news Turf
JOLT détient des atouts dans le Trophée Vert à Bernay
Ils seront dix-huit trotteurs à tenter de rejoindre en tête du classement général du Trophée Vert, Hot Dog de la Rive, lauréat à Carpentras, lors de la première étape. Un lot très intéressant sera au prise sur 2.800 mètres à Bernay, en Normandie. Les deux échelons de départ seront équilibrés, avec neuf chevaux à chaque poteau. Le spectacle devrait être de qualité, car la présence de certains 6 ans et de quelques spécialistes des pistes en herbe permettent la vision d’un plateau de choix. Le Trophée Vert 2012 prend véritablement son envol avec des étapes qui se dérouleront, au plus, à trois semaines d’intervalle désormais.
LITYA DE BOSENS - LATINUS, nouveau jumelé pour Joël Hallais
A quinze jours du prix du Président de la République, les meilleurs quatre ans que l'on retrouvait ce soir au départ du prix Lavater, ne devaient pas être loin de leur meilleure forme. Seul au poteau des 25 mètres, Latinus, qui venait de s'imposer facilement, devant sa compagne d'écurie Litya de Bosens, dans le prix Henri Ballière, partait avec la confiance générale. Lann Bihoué et Lynx de Bellouet, qui l'avaient précédé dans le prix René Palyart, formaient l'opposition avec Legs du Clos dont c'était la première apparition sous la selle.
Échos des Provinces (du 22 au 28 juillet 2012)
L’Elitlopp était bien évidemment l’événement majeur de la semaine qui s’écoulait du jeudi 22 au mercredi 28 juillet inclus, dans le monde du trot. Mais, seules les activités en province en France nous intéresse ici, et les débuts de la déjà très célèbre, par son pedigree, Myrtille des Bois (Ténor de Bauné et Dryade des Bois, deux lauréats du Prix d’Amérique) à Meslay-du-Maine étaient plus qu’attendus. Non loin de là, à Angers, une épreuve de 4 ans s’annonçait particulièrement intéressante. Deux tombeurs du récent lauréat du Critérium des 4 ans, Lulo Josselyn, à savoir, Luigi du Tija (à Vincennes) et Light Up de Vonnas (à Laval), s’affrontaient et le duel valait le détour. Enfin, la première course P.M.U à Saint-Omer, qui fêtait son cent cinquantième anniversaire, marquait une première : un hippodrome de deuxième catégorie sur la cendrée qui accueille une course de renommée nationale.
Ils seront dix-huit trotteurs à tenter de rejoindre en tête du classement général du Trophée Vert, Hot Dog de la Rive, lauréat à Carpentras, lors de la première étape. Un lot très intéressant sera au prise sur 2.800 mètres à Bernay, en Normandie. Les deux échelons de départ seront équilibrés, avec neuf chevaux à chaque poteau. Le spectacle devrait être de qualité, car la présence de certains 6 ans et de quelques spécialistes des pistes en herbe permettent la vision d’un plateau de choix. Le Trophée Vert 2012 prend véritablement son envol avec des étapes qui se dérouleront, au plus, à trois semaines d’intervalle désormais.
LITYA DE BOSENS - LATINUS, nouveau jumelé pour Joël Hallais
A quinze jours du prix du Président de la République, les meilleurs quatre ans que l'on retrouvait ce soir au départ du prix Lavater, ne devaient pas être loin de leur meilleure forme. Seul au poteau des 25 mètres, Latinus, qui venait de s'imposer facilement, devant sa compagne d'écurie Litya de Bosens, dans le prix Henri Ballière, partait avec la confiance générale. Lann Bihoué et Lynx de Bellouet, qui l'avaient précédé dans le prix René Palyart, formaient l'opposition avec Legs du Clos dont c'était la première apparition sous la selle.
Échos des Provinces (du 22 au 28 juillet 2012)
L’Elitlopp était bien évidemment l’événement majeur de la semaine qui s’écoulait du jeudi 22 au mercredi 28 juillet inclus, dans le monde du trot. Mais, seules les activités en province en France nous intéresse ici, et les débuts de la déjà très célèbre, par son pedigree, Myrtille des Bois (Ténor de Bauné et Dryade des Bois, deux lauréats du Prix d’Amérique) à Meslay-du-Maine étaient plus qu’attendus. Non loin de là, à Angers, une épreuve de 4 ans s’annonçait particulièrement intéressante. Deux tombeurs du récent lauréat du Critérium des 4 ans, Lulo Josselyn, à savoir, Luigi du Tija (à Vincennes) et Light Up de Vonnas (à Laval), s’affrontaient et le duel valait le détour. Enfin, la première course P.M.U à Saint-Omer, qui fêtait son cent cinquantième anniversaire, marquait une première : un hippodrome de deuxième catégorie sur la cendrée qui accueille une course de renommée nationale.
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